Etude à la une
Etude d'imprégnation environnementale des populations
Cette étude vise à évaluer, à partir de mesures d'indicateurs biologiques dans le sang et les urines, si la population vivant à Fos-sur-Mer présente des niveaux d'imprégnation significativement différents aux polluants anthropiques par rapport à un groupe témoin, tout en tenant compte des facteurs de confusion potentiels.
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Bioindication de l'exposition au COV par les pétunias
L'exposition de différentes communes à la pollution atmosphérique en composés organiques volatils d'origine industrielle, urbaine et routière a été évaluée en mesurant les impacts physiologiques induits sur Petunia hybrida à travers 10 paramètres détaillant le développement morphologique chez cette plante. Dans une seconde phase, les stations ont été équipées de cartouches de prélèvement des COV.
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Etude du transfert sol-plante-atmosphère des polluants organiques et métalliques
Cette étude permet d'évaluer le risque de contamination des végétaux par le transfert des polluants présents dans l'air et les sols, au niveau de territoires exposés aux pollutions atmosphériques ou contaminés par des activités industrielles passées. Pour cela, les modes de transfert des métaux ont été mesurés sur des végétaux cultivés, qu'il s'agisse de légumes racines, feuilles ou fruits.
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Sources des particules: Leurs contributions relatives dans l'air ambiant
L'étude vise à établir les empreintes chimiques des sources industrielles de la ZIP de Fos, afin de les identifier au sein de la pollution aux particules mesurée en centre-ville, et de calculer leurs contributions. Cette connaissance permettra de cibler et de suivre précisément les mesures permettant de réduire les concentrations en particules autour des ZIP.
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Biosurveillance de la qualité de l'air par les lichens
Pour savoir comment se répartissent les polluants atmosphériques sur de vastes territoires et mesurer leurs effets sur le vivant, l'Institut réalise régulièrement des relevés de flore lichénique et des prélèvements de thalles de Xanthoria parietina. L'analyse de 17 métaux et métalloïdes, 16 HAP et les dioxines et furanes (PCDD/F) de la liste OMS, permet de mesurer la bioaccumulation des polluants.